Réforme de la PAC, guerre des prix, Green Deal européen, Covid-19… Pour répondre à ces nouveaux défis, le monde agricole et en particulier les coopératives agricoles ont dû se réinventer dans leur quête de compétitivité et de création de valeur !
Une course effrénée à la transformation digitale
Afin de préparer cette mutation, les grands protagonistes du domaine se sont lancés dans une course effrénée à la transformation digitale de leur organisation.
Cette réforme aura aussi permis d’apporter encore et toujours plus d’attentions aux adhérents, mais également aux partenaires et aux clients finaux de ces coopératives, au travers de services toujours plus innovants et différenciants (big data, CRM, ….).
Historiquement cantonnées aux échanges sur le terrain, les coopératives ont aussi intégré au sein de leur structure des centres de contacts omnicanal visant à optimiser les déplacements des technico-commerciaux, à diversifier les canaux de communication (tel, email, réseaux sociaux,…) avec leurs adhérents tout en optimisant le nombre de contacts.
Depuis, en France, l’AgTech (ou Agriculture Technologique) connait un véritable essor notamment grâce à des start-up toujours plus innovantes.
La visio-assistance pour remettre un peu plus d’humain au coeur de la relation client
Dans des entreprises coopératives qui placent l’Homme au cœur de leur philosophie, il était essentiel de conserver cette relation « humanisée » dans le cadre de ces échanges à distance.
C’est pourquoi, certaines coopératives se sont dotées de solutions d’assistance visuelle (Speakylink, Sightcall,…) qui permettent de téléporter l’expertise technique sur le terrain (assistance technique, machinisme agricole, assistance sur des cultures…).
Ces solutions intégrées au CRM ou directement interfacées avec le dispositif de téléphonie permettent de réenchanter la relation client en apportant une approche personnalisée et à forte chaleur ajoutée !
Depuis toujours, le monde agricole s’est appuyé sur la technologie afin de relever les défis (souvenez-vous de l’utilisation du GPS dans les tracteurs dès les années 90 !), une nouvelle fois ce scénario se reproduit.